BTS 2019 : 58,7% d’admissibilité contre 57% en 2018





bts-2019-587-dadmissibilite-contre-57-en-2018


La session 2019 du Brevet de technicien supérieur (BTS) a enregistré 32.535 candidats déclarés admissibles sur 55.436, un taux de 58,7% contre 57% en 2018, en légère hausse de 1,7 point, a annoncé, vendredi, le directeur général de l’Enseignement supérieur, Ibrahim Lokpo.

Les candidats inscrits étaient 56 458 avant les compositions. Les filières industrielles ont enregistré 10 046 admissibles sur 16 549 candidats (60,7%), le taux d’admission dans les filières tertiaires s’établissant à 57,8%. En ce qui concerne le genre, les filles ont eu plus de succès que les garçons avec 59,6% contre 57,8%, a précisé M. Lokpo, président du comité d’organisation de cette session.

Les résultats sont disponibles depuis vendredi soir sur la plateforme www.examenbts.net. Les candidats disposent de trois jours, à partir de lundi pour déposer leurs réclamations sur le même site internet après avoir édité leurs relevés de notes.

Ibrahim Lokpo a salué la volonté du ministre Mabri Toikeusse d’organiser un examen du BTS crédible qui a facilité un déroulement des différentes épreuves sans incident majeur même si des téléphones portables ont été saisis sur certains candidats malgré leur interdiction formelle dans les salles de composition.

“Nous devons le bon déroulement du BTS à la détermination de Monsieur le Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique à tout mettre en oeuvre pour garantir la qualité des formations et des diplômes délivrés en Côte d’Ivoire. Nous devons également la réussite de cet examen à l’engagement et au sens de la responsabilité de tous les acteurs et partenaires de notre système d’enseignement supérieur”, a-t-il affirmé.

“L’engagement de tous les acteurs a contribué au succès des différentes étapes du processus avec l’usage du numérique depuis l’édition de 2016 pour la crédibilité du BTS”, a souligné M. Lokpo, citant notamment l’inscription en ligne, l’enrôlement et le contrôle biométriques, l’anonymat avec l’utilisation des codes barres, les délibérations assistées par ordinateur et l’appui de la police scientifique qui a mené des investigations pour traquer les fraudeurs.

(AIP)

aaa/tm

Partarger cet article

En lecture en ce moment

Point de la situation de la COVID-19 au vendredi 23 octobre 2020

Baccalauréat 2023 : les épreuves ont débuté ce mardi 27 juin