Le parcours de Colette Pellaud Epse Lakpé aux côtés du président Alassane Ouattara





le-parcours-de-colette-pellaud-epse-lakpe-aux-cotes-du-president-alassane-ouattara


Le Réseau des communicateurs pour le développement (RESACOM), présidé par Henri Kouassi, a effectué sa traditionnelle réunion mensuelle ce mardi  à la riviera palmeraie au cours de laquelle le président dudit réseau, composé des hommes de média et professionnels de la communication, a salué les actions du gouvernement pour les grands travaux entrepris dans la ville d’Abidjan et enjoint ses collaborateurs à travailler de concert pour permettre au réseau a d’atteindre ses objectif. Qui sont entre autres de relayer les informations, médiatiser les actions de développement des élus, hommes politiques et cadres engagés dans  le développement de leurs régions.

Dans cette optique, Henri Kouassi a rendu hommage à la présidente du conseil de développement de Guiberoua,  Colette Pellaud Epse Lakpé  pour  "sa politique de développement" dans la ville.

Selon Henri Kouassi, premier responsable du Resacom « la Conseillère économique, sociale,  environnementale et culturelle, Colette Pellaud epse Lakpé est une chance inouïe pour sa région natale, Guibéroua pour ses actions sociales et de développement dans la région. « Ces actes de bienfaisances ne se compte plus », a-t-il dit, ajoutant que la présidente du conseil de développement de la ville, a contribué au rayonnement de la ville ces dernières années.

Figure  historique du RDR à Guibéroua, parti qu’elle a adhéré au début des années 1990, elle a développé un leadership fort tant au plan national que régional. Son engagement aux côtés du président Alassane Ouattara prend ses sources au début des années 90 précisément en décembre 1991 après avoir  passé de longues années en Europe, a-t-il rappelé.

Depuis  cette date  où elle a fait sa connaissance jusqu’à l’accession au pouvoir d’Etat en 2011,   HENRI KOUASSI a révélé que «  celle qui a été de tous les combats a témoigné  au président de la République une fidélité sans faille.

Malgré les tracasseries diverses, les menaces,  les arrestations, le bannissement de son village  pour son militantisme au RDR,  n’ont jamais tiédi son ardeur, a-t-il dit ajoutant qu’en 1994 elle a été la marraine  du mouvement  « Génération Ado », première association « alassanite ». et de poursuivre. «  Au plan régional, Colette Pellaud s’est très tôt affirmée comme le fer de lance du RDR dans le pays Bété,  dans cette région présentée comme hostile au RDR.  D’ailleurs à  la naissance du RDR en  1994, et à l’étonnement de tous, on la voit parcourant sa région natale pour annoncer la création d’un parti dont le leader est le Président Alassane Ouattara.

Il a même affirmé qu’elle a été membre du comité central du RDR depuis sa création et fut la première vice-présidente du premier bureau du Rassemblement des femmes républicaines (RFR).

Pour cette longue fidélité contre vents et marrées, c’est tout naturellement qu’une fois au pourvoir le président Alassane Ouattara fera d’elle sa conseillère spirituelle avant de la nommer au conseil économique social  environnemental  et culturel» a déduit Henri Kouassi, rappelant en outre que depuis 2011 et avec le soutien du gouvernement du président Alassane Ouattara , elle a permis à la ville de  Guiberoua ainsi qu’aux villages de la sous-préfecture  de  bénéficier de la construction  infrastructures de base dans tous les domaines vitaux, notamment, l’éducation, la santé, l’électrification, les routes l’adduction en eau potable.

Elle a également contribué à l’extension du réseau électrique de Niaprahio, son village et du bitumage de l’artère principal dudit village.

Vu toutes ses actions, ses parents  entendent rendre dans les semaines à venir, un vibrant hommage au Président  Alassane Ouattara pour ses actions de développement à travers une grande fête.

 « Durant ces dix dernières années, Colette Pellaud a donné de sa personne pour éteindre les foyers de tensions dans la région du Goh, comme lors des évènements  douloureux  de Tehiri en 2020, mais aussi après le 11 avril 2011, on l’a vu parcourir les villages de la sous-préfecture de Ouragahio, Bayota pour rassurer, apporter sa compassion, faire des dons aux  populations  et appeler à la réconciliation.  Cette  mission n’a pas été de tout repos pour la native de Niaprahio », a terminé Henri Kouassi.

Des actions politiques et sociales qui lui valent aujourd’hui la reconnaissance des siens que de toute une région.

Lambert KOUAME

Partarger cet article

En lecture en ce moment

Ramadan 2024 : l’UNJCI et ses partenaires offrent une rupture collective de jeûne aux journalistes

Région de l’Iffou : pas de festivités de grande envergure