Inondations au stade d'Ebimpé : ''On ne peut pas couper des têtes à cause d'un phénomène naturel '' ( porte parole du Gouvernement)





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Le ministre Amadou Coulibaly,  porte-parole du Gouvernement a réagi sur le cas de la pelouse du Stade d'Ebimpé qui défraie présentement la chronique.  C'était ce mercredi lors du compte rendu du Conseil des ministres.  Pour lui, l'incident qui s'est produit de mardi au stade d'Ebimpé est un phénomène naturel. Et personne se sera donc sanctionné.  
'' Cependant la survenue d’une pluie orageuse exceptionnelle et non prévisible a entraîné l'arrêt du match.  Il faut noter que les installations de ce stade ne sont pas, à ce stade, mises en cause. Cette situation exceptionnelle permet toutefois de faire les ajustements nécessaires pour remédier à tous cas similaires. Elle justifie en tout état de cause l’organisation de la Can en Janvier, mois où il pleut le moins dans notre pays. ( ...) On ne peut pas couper des têtes à cause d'un phénomène naturel. C'était une pluie exceptionnelle. On ne peut pas sanctionner quelqu'un pour ça", a soutenu Amadou Coulibaly.  
Il a fait noter que la rencontre entre la Côte d'Ivoire et le Mali était un test relativement à la Can 2023. Ce qui a donc permi, selon lui de voir les imperfections à moins de six mois du coup d'envoi de la grande fête du football africain. "C’est dans un cadre de test qu’un match a été organisé, hier au Stade Alassane Ouattara d'Ebimpé. Ces tests grandeur nature permettent d’évaluer toutes les infrastructures et dans le cadre du test d’hier, un problème essentiel a été identifié. Il s’agit de celui de l'accès  et de la sécurité des 60 milles spectateurs dont les techniciens pensent qu’il sera résolu avec l’achèvement des voies d’accès en construction", a-t-il rassuré.  

 

GZ

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