Revue de presse : RHDP et PPA-CI sillonnent le pays en attendant 2025





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L’élection présidentielle de 2025 se prépare depuis bien longtemps par les partis politiques ivoiriens. Le week-end dernier, le Rassemblement des Houphouétistes pour la démocratie et la paix (RHDP, au pouvoir) et le parti des peuples africains (PPA-CI, opposition) étaient sur le terrain pour mobiliser et parler à leurs militants respectifs.

Des cadres du parti au pouvoir ont sillonné la Côte d’Ivoire pour parler de leur mentor, le président Alassane Ouattara, aux populations. Le Rassemblement ouvre avec comme titre, « Le RHDP, tout feu, tout flamme sur le terrain ».

A Bouaflé, Harlette Badou, la première responsable des femmes du RHDP, a crié haut et fort, à la Une du Patriote : « On a trouvé notre chef, on ne le lâchera pas ». Même son de cloche pour Etienne Adjoumani qui affirme à la Une du Mandat : « Notre candidat, c’est Ado ou rien ». L’Inter informe pour sa part qu’à 15 mois de la présidentielle de 2025, « le RHDP déroule sa machine », en révélant ce qui est en préparation.  L’Avenir s’est projeté avec les jeunes en titrant : « La jeunesse prend des engagements forts à Bondoukou ».

Au niveau du PPA-CI, c’est le patron Laurent Gbagbo qui s’est déplacé à Bonoua, le village de son ex-épouse Simone Gbagbo. « Gigantesque mobilisation », décrit Le Temps, montrant une foule immense en arrière-plan de l’ancien président. Comme pour dire certainement que son ancienne belle-famille continue de le soutenir dans son combat pour le retour au pouvoir en 2025.

Sur le même sujet, La Voie Originale s’est appesantie sur les recettes données par Laurent Gbagbo pour « Dégager Ouattara en 2025… ». A la Une de Soir Info, le patron du PPA-CI a lancé : « Je demande au gouvernement de faire attention ».

Le même journal confie : « Un étudiant retrouvé pendu dans sa chambre à Danané », dans l’Ouest du pays. Un drame qui s’ajoute à ceux qui se sont produits à Abidjan la semaine dernière.

Les pollueurs de l’environnement seront désormais poursuivis et emprisonnés, selon Le Rassemblement qui écrit en manchette : « 1 à 6 ans de prison, 1 à 100 millions d’amende ».

Bon début de semaine et à la semaine prochaine !

Solange ARALAMON

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