AGO

L’Assemblée Générale Ordinaire de l’ASEC Mimosas était l’évènement sportif majeur le dimanche 11 août 2024. Et elle a tenu toutes ses promesses, en présence des représentations de tous les compartiments de la famille mimosas, notamment les Actionnaires, les anciennes gloires, membres de l’AAFAAM (Amicale des Anciens Footballeurs et autres Athlètes de l’ASEC Mimosas), et les dirigeants. C’est finalement à 10h20 que cette Assemblée Générale Ordinaire a commencé avec l’entrée dans l’auditorium ADIKO Niamkey de la Bourse du Travail et l’installation à la table de séance du Conseil d’Administration, conduit par son Président, Me Roger OUEGNIN. Puis, après l’adoption de la proposition de l’ordre du jour préalablement présentée par le Maître de cérémonie, DIAKITÉ Clément, Chef d’antenne de RJN et Directeur de Publication du magazine ASEC Mimosas-Les enfants s’amusent, une minute de silence a été observée en la mémoire des dirigeants, gloires et Actionnaires décédés, ainsi qu’en hommage à l’ex-président de la CAF, Issa HAYATOU, un grand ami de l’ASEC Mimosas et de son PCA, Me Roger OUEGNIN, rappelé à Dieu, quelques jours plus tôt. Puis, impulsé par les leads vocaux du Mur Jaune, Christian Bernard et Boniface TOSSAVI, l’on a exécuté l’Abidjanaise suivi de l’hymne de l’ASEC Mimosas, en guise d’ouverture des assises au cours desquelles le PCA Me Roger OUEGNIN et les supporters ont véritablement devisé sur la gestion de l’ASEC Mimosas depuis la dernière Assemblée Générale Ordinaire du 13 août 2023, ainsi que sur les faits et évènements ayant impacté la marche du club au cours de la saison 2023-2024.

 

BILAN MORAL, LE MÉA-CULPA

« C’est moi qui valide tous les recrutements. Si les résultats sont positifs, c’est moi. Quand c’est négatif comme la saison écoulée, c’est moi, le seul responsable. Vous avez raison, nos résultats de la dernière saison n’honorent pas l’ASEC Mimosas. J’assume tous les résultats. » C’est le mea-culpa du PCA, Me Roger OUEGNIN, répondant aux griefs des supporters contre le bilan moral présenté par le Directeur Général, Benoît YOU. Non sans réaffirmer son engagement à tout mettre en œuvre pour remettre les choses à l’endroit. « Nous allons revenir plus forts. Faites-moi confiance », a-t-il promis. Dans son exposé, le DG a notamment dépeint un exercice terne avec une bonne équipe en Ligue des Champions où elle a été sortie au stade des quarts de finale, mais poussive au plan local avec la perte du titre de champion de Côte d’Ivoire et de la Coupe nationale. Résultats quasi-identique pour la section volleyball, également dépouillée du titre et de la Coupe nationale, mais vainqueur seule de la Coupe de la Zone 3. En revanche, Benoît YOU a salué le bon rayonnement de l’équipe U20 de l’Académie MimoSifcom, championne de sa catégorie, et celle de football féminin, vice-championne de Côte d’Ivoire, pour sa première saison en D1. « Le bilan moral n’est pas fameux au regard des maigres résultats sportifs. » Il a salué pour finir, la bonne avancée des projets de développement du club avec « les tournées de l'Académie MimoSifcom en Europe et aux Etats-Unis grâce à la fondation SIFCA», indique-t-il, sans oublier les autres activités du groupe ASEC Mimosas. « Les volets Sports-Loisirs et l’Hôtel Sol Béni enregistrent également de bons résultats financiers. On est heureux d’être un club attractif et constamment à la recherche de la performance. Concernant Gboro Gbata, les travaux avancent bien », a-t-il assuré.

 

LA BONNE SANTE FINANCIERE

Le rapport financier présenté par le Directeur Administratif et Financier, SÉRI BI Jean-Jacques, révéle que « l’année 2023 se termine pour le groupe ASEC MIMOSAS avec un résultat net positif de 1,173 milliard (un milliard cent soixante-treize millions) FCFA, contre un résultat positif de 1,006 (un milliard six millions) FCFA enregistré au cours de l’exercice précédent », avant de justifier : « Cette augmentation du résultat d’ensemble (+ 167 millions FCFA), provient d’une hausse des revenus du groupe (d’environ 466 millions FCFA par rapport à 2022), du fait de l’augmentation des subventions perçues lors du parcours de l’équipe fanion en 1/2 finale de la coupe de la confédération et de sa qualifica¬tion en phase de poule de la ligue des champions. A ces revenus, il faut ajouter l’accroissement de la rubrique partenariat, l’évolution des activités loisirs et l’impact de l’organisation de la CAN avec l’occupation de Sol Béni. » Un rapport financier qui a ensuite obtenu quitus, après la certification du Commissaire aux comptes, KOUAMÉ Rémi.

A leur suite, le PCA, Me Roger OUEGNIN a fait comprendre aux Actionnaires l’importance du rapport financier dans le développement du club. « Le bilan financier est très important pour la survie du club. Il faut que cet exercice vous tienne à cœur. Car, le jour où le président cessera de vous présenter le bilan financier, le club sera perdu », a-t-il insisté.

 

ROGER OUEGNIN, TOUJOURS AUX AFFAIRES

Abordant le volet institutionnel de son intervention, le PCA, Me Roger OUEGNIN a tenu à répondre aux critiques contre sa longue présence à la tête du club jaune et noir : « J'entends dire que je n'ai plus d'ambitions pour l'ASEC Mimosas, que je suis dépassé. Mais, je suis dépassé par qui ? Qui m'a dépassé ? Moi je n'ai pas d'ambitions ? Quand vous me regardez je ressemble à quelqu'un qui n'a plus d'ambitions ? Les décisions que je prends, c'est pour défendre les intérêts de l'ASEC Mimosas. Cette mission m'a été confié le 19 novembre 1989 ».

 

RÉAMENAGEMENT DU CONSEIL D’ADMINISTRATION

« Colombo » a, ensuite, présenté et remercié ses collaborateurs, pour leur implication dans le développement du club. Puis, il a procédé, à un réaménagement technique du Conseil d’Administration qui compte désormais outre le Président, 5 vice-Présidents et 11 membres. Mariétou DJIBO-N’ZI, Présidente de la Section Football Féminin, nommée nouveau membre. Dans la foulée, TAYORO Franck-Timothée, membre du Conseil et Président du CNACO, est promu 5e vice-Président, en charge de la Commission Animation et Mobilisation. Quand Eric DJIBO, 3e Vice-Président en charge de la commission Stratégie et Développement, est nommé Président Délégué de l’ASEC Mimosas. Trois nominations unanimement approuvées par l’Assemblée. Pour le reste, le PCA a jeté un regard sur la gestion du CNACO par le Président TAYORO Franck-Timothée, depuis 04 ans. « Je suis très satisfait de son travail avec les Zones et le Pôle numérique. Son rôle est particulièrement délicat, dans un environnement qui n’est plus le même que celui de l’ère KONÉ Mamadou. Mais il le remplit bien », a-t-il salué. Puis, il a tenu à féliciter le Mur Jaune, le seul et unique groupe officiel d’animation de l’ASEC Mimosas. « Ces jeunes ont été présents partout, aux côtés de notre équipe. Ils n’ont jamais faibli. Je leur dis Merci. Et j’invite tous les supporters à se fondre dans l’ambiance du Mur Jaune quand ils sont dans les tribunes », a-t-il soutenu.

 

LE PATRIMOINE DE L’ASEC MIMOSAS

Outre les finances du club qui présente une belle santé avec un bénéfice de 1,173 milliards, le patrimoine immobilier apparait, selon le PCA, comme « la plus grande force » de l’ASEC Mimosas « pour envisager l’avenir et espérer passer un autre cap ». Notamment le siège du CNACO à Treichville, le complexe Sol Béni et Gboro-Gbata dont il a dévoilé les titres fonciers (qui font de l’ASEC Mimosas l’unique propriétaire) : « Sol Béni et Gboro-Gbata appartiennent exclusivement à l’ASEC Mimosas et non au PCA, ni à la famille OUEGNIN », a-t-il insisté. Pour le financement de ce nouveau camp de base des Mimos, il a tenu à rassurer les Actionnaires : « Je ne veux pas financer la construction de Gboro Gbata avec un crédit bancaire. Parce que je n'ai pas envie de laisser derrière moi, des dettes. C'est pour cela que, certains transferts de jeunes de l'Académie se font, pour financer sans avoir recours à la banque. L'ASEC Mimosas ne doit à aucune banque. Tant que je peux me débrouiller, je me débrouille, donc dormez tranquille. Je fais tout ce que je peux, pour faire ce que j'ai à faire. Que le bon Dieu me permette d'aller au bout de notre rêve, finir Gboro Gbata. Pour qu'on ait, Sol Béni, notre poumon économique et Gboro Gbata notre refuge. » Un rêve qui est proche de se réaliser, au regard de l’avancée des travaux de réalisation de ce complexe. Gboro Gbata, d’une superficie de 6,583 hectares, abritera, à terme, un centre d’entraînement moderne et performant, ainsi que des installations dignes du grand club qu’est l’ASEC Mimosas.

 

REFUS DE PRÉSENTER LA CUVÉE 2024

Ce n’était pas un point à l’ordre du jour. Mais, le PCA n’a pu esquiver le sujet, tant il tenait à cœur plusieurs Actionnaires. Assumant ce « black-out » sur les nouveaux joueurs du club, il a trouvé les mots pour expliquer pourquoi la cuvée 2024 n’a pas été présentée solennellement. En effet, Me Roger OUEGNIN a décidé en dirigeant protecteur de ses joueurs et de l’image du club et aussi comme un homme prudent qui veut une reprise progressive de la bonne cadence. « J’ai décidé de ne pas présenter notre nouvel effectif. Je le veux ainsi pour laisser les joueurs, eux-mêmes se révéler aux supporters par leurs performances. En plus, le gros espoir placé en nos recrues l’année dernières et finalement déçu m’oblige à la prudence voire à la réserve », a-t-il expliqué. Toutefois, il a tenu à rassurer les Actionnaires. « La présentation des joueurs fait partie de nos bonnes habitudes. Nous la reprendrons dès la saison prochaine, à Gboro Gbata », a-t-il conclu, sur le sujet.

 

LES OBJECTIFS POUR LA SAISON 2024-2025

Annonçant la nouvelle saison, le Patron du club jaune et noir s’est voulu ambitieux : « Nos objectifs sont de reconquérir les trophées de toutes les compétitions nationales auxquelles l'équipe professionnelle participera et de faire aussi bien, sinon mieux que les trois précédentes saisons, en Coupe de la Confédération », fixe-t-il. Toutefois, il pense que la mayonnaise pourra ne pas prendre tout de suite. Et pour cause ? C’est une équipe profondément renouvelée qui arrive après le départ des joueurs en fin de contrat. Aussi, appelle-t-il à la patience des supporters. « L'effectif des joueurs de l’équipe fanion a été renouvelé à 80%. Donc ne vous attendez pas à des choses extraordinaires de la part des joueurs en début de saison. Mais, croyez-moi, nous n'allons pas nous laisser faire pour autant », conseille-t-il. Pour lui, il n’y a pas de doute que l’ASEC Mimosas finira par renouer avec ce beau football qui a fait sa renommée. « J'ai le sentiment que nous avons perdu notre ADN. Et il est vrai qu'il faut qu'on la retrouve. »

 

TRANSFERTS ET RECRUTEMENT DES JOUEURS

Ce point aura été le plus attendu des supporters mimos. Tant ils sont convaincus que les contreperformances du club lors du précédent exercice sont dues au transfert de l’attaquant Sankara KARAMOKO en milieu de saison. Aussi, sont-ils venus déterminés à « demander des comptes » au PCA. Préoccupation à laquelle il a répondu aisément. Notamment en expliquant avoir agi à la fois en dirigeant soucieux de l’intérêt de son club, en père de famille conscient des réalités sociales et enfin en grand homme respectueux de la parole donnée. « En respectant ma promesse faite au joueur, j’ai été réceptif aux supplications d’une famille en détresse et aussi réussi à générer des entrées dans les caisses du club », a-t-il résumé en guise de justification.

Parlant des recrutements, il a indiqué que l’ASEC Mimosas n’a pas suffisamment de moyens de tenir la concurrence avec les clubs du Maghreb ou d’Afrique australe, financièrement puissants. « Les temps ont changé, surtout au niveau de l'ordre mondial économique du football. Il faut aujourd'hui se réinventer et faire preuve de beaucoup de malice et d'astuces pour pouvoir continuer à exister au milieu des clubs beaucoup plus puissants financièrement », indique-t-il, avant d’ébaucher l’exode prématuré des talents. « Les bons joueurs ne sont plus forcément ici. Les meilleurs partent, tous. Avant la Côte d’Ivoire était une plaque tournante. On partait chercher des Nigérians. Aujourd'hui, ça ne les intéresse pas de venir ici. C'est difficile de garder un bon joueur pendant 2 ans, à cause des parents qui souhaitent voir leurs enfants à l'extérieur. »

 

LE VOLET SPORTIF

Abordant ce point très attendu, le PCA l’a séquencé en quatre volets dédiés respectivement à l’équipe fanion, à l’académie MimoSifcom, à l’équipe de football féminin et à la section volleyball.

 La saison sans titre

Se prononçant sur la saison blanche, Me Roger OUEGNIN s’est attribué la paternité de l’échec. Il a notamment affirmé s’être trompé sur le choix de certains joueurs, recrutés au mercato. Ce qui n’a pas aidé le club à se repositionner. Mais, ce n’est pas le seul facteur. « Les joueurs étaient épuisé. Ils voulaient mais n’en pouvaient plus », a-t-il ajouté, faisant allusion à la saison au chevauchement des deux dernières saisons, à cause de la CAN, ce qui n’a pas vraiment laissé de temps de repos aux joueurs de l’ASEC Mimosas, engagés sur plusieurs fronts. Il y a eu aussi les conditions de jeu qui, selon lui n’ont pas facilité la tenue de route de ses protégés : « Quand on joue sur du synthétique, ce n'est plus le même football. Vous n'avez pas le sentiment qu'en Coupe d'Afrique on joue mieux. La pelouse synthétique provoque des blessures. Les anciens qui ont marqué le style de jeu de l'ASEC ont tous joué sur du gazon naturel. L'ASEC Mimosas va retrouver son ADN avec les nouveaux stades affectés aux équipes », espère-t-il. Fermant ce chapitre, il a exhorté les Actionnaires à ne pas culpabiliser l'entraîneur Julien CHEVALIER. « Le jour où il ne fera plus mon affaire, je le changerai », promet-il.

 

L’Académie MimoSifcom

Le PCA a félicité et salué les résultats de l’Académie MimoSifcom, le centre de formation de l’ASEC Mimosas soutenu par la Fondation SIFCA. Il a parlé d’excellents résultats notamment avec la domination du championnat Elite jeunes par l’équipe des U20. Il salue pour cela le travail de tous les encadreurs de l’Académie qui se battent pour assurer ainsi la pérennité de l’ASEC Mimosas. D’autant plus que certains jeunes talents ont pu être transférer, assurant ainsi des entrées financières pour le développement du club. D’où sa reconnaissance aux partenaires dont la Fondation SIFCA qui œuvrent pour une meilleure formation des Académiciens. Pour autant, Me Roger OUEGNIN se veut lucide quant au génie des joueurs en formation. « Certains rêvent de l'Académie MimoSifcom. Mais ça ne peut plus arriver. Les meilleurs jeunes, on nous les amenait gratuitement. Aujourd'hui les gens les cachent parce qu'il y a des agents partout, prêts à les faire partir. Le football champagne, tout le monde en rêve, mais ça sera difficile d'y revenir. »

 

La Section féminine

L’équipe de Football Féminin de l’ASEC Mimosas a connu une belle première saison en 1ère division. En terminant vice-championne avec seulement 2 défaites sur le terrain, et 15 victoires sur 22 matchs disputés en championnat, cette formation a bien répondu aux attentes du Conseil d’Administration. Aussi, n’a-t-il pas caché son satisfecit, en félicitant publiquement toute la formation mais surtout la présidente de la section, Mariétou DJIBO-N’ZI. « Je félicite la présidente de l’équipe féminine de football, Mariétou DJIBO-N’ZI qui fait un excellent travail à la tête de cette section. Avec un entraîneur expérimenté et des joueuses talentueuses, elle a fait une belle première saison en D1. La préparation a commencé il y a quelques jours avec des recrues de qualité qui aideront l’équipe à poursuivre son ascension, lors de la nouvelle saison. », a-t-il analysé.

 

LES PARTENAIRES DU CLUB

Le patron du club jaune et noir n’a pas manqué cette nouvelle occasion pour remercier publiquement toutes ces entreprises qui réaffirment, au fil des années, leur fidélité à l’ASEC Mimosas. Les plus anciennes dont SIFCA, ORANGE-Côte d’Ivoire, ALLIANZ, OLA ENERGY, UTB et EUROLAIT ; mais également celles qui ont étoffé la liste de nos partenaires récemment, comme BETCLIC ,…., arrivées au cours de ces deux dernières années, nous l’espérons, pour une longue durée. Aussi, en vue de les encourager à toujours accompagner notre club, le PCA invite-il les Actionnaires et sympathisants mimos à prioriser leurs produits et services sur le marché.

 

LES MAILLOTS DE LA SAISON 2024-2025

L’ASEC Mimosas reste avec l’équipementier italien KAPPA. Pour la nouvelle saison, les équipes seront donc, toujours, habillées par la firme italienne dont il a salué la qualité de la collaboration, grâce à son représentant Afrique, CONGO Brahima, membre du Conseil d’Administration et Président de la section volleyball de l’ASEC Mimosas. « Nous continuons avec KAPPA », a-t-il annoncé, avant de préciser : « Nous avons décidé aussi de ne pas changer de tenue et de design. Les modèles de maillots arborés la saison dernière sont donc maintenus pour les compétitions 2024-2025 », a-t-il précisé. Interpellé par les supporters sur la différence entre les maillots vendus en Europe et même en Afrique du Nord, d’avec ceux mis à la disposition des Actionnaires, le PCA explique par le prix et la clientèle nettement moins élevés ici. Aussi, a-t-il exhorté les supporters mimos à continuer à s’en procurer pour encourager et, pourquoi pas, inciter notre habilleur à améliorer la qualité de ces tenues, qui n’est « déjà pas mauvaise ».

 

LE LIVRE SUR L’HISTOIRE DE L’ASEC MIMOSAS

Comme il y a un an, le PCA Me Roger OUEGNIN a réaffirmé son attachement à l’histoire de l’ASEC Mimosas qu’il invite tous les supporters à partager. Et cela en présentant, passionnément le Tome 2 du livre « ASEC MIMOSAS – Un Club de légende : Du Présidium aux années MimoSifcom ». Félicitant, une fois encore, son auteur, YAO Romain, par ailleurs membre d’honneur du club, « pour la qualité de l’œuvre qui retrace l’histoire de l’ASEC Mimosas depuis sa création à nos jours ». Le PCA conclura cette présentation par une exhortation des Actionnaires à se procurer ce livre dont la vente a officiellement commencé ce dimanche 11 août 2024, au siège du CNACO.

René KOFFI