Tidjane Thiam : « Le PDCI-RDA reviendra au pouvoir en 2025 »





tidjane-thiam-le-pdci-rda-reviendra-au-pouvoir-en-2025

Tidjane Thiam, président du PDCI-RDA, a réaffirmé avec conviction que son parti est prêt à reconquérir le pouvoir lors de l'élection présidentielle de 2025



Le président du Parti Démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI-RDA), Tidjane Thiam, s’est montré confiant quant au retour de son parti au pouvoir lors des prochaines élections présidentielles prévues pour octobre 2025. S’exprimant ce samedi 21 décembre 2024, lors d’un meeting à Aboisso, dans le sud-est du pays, il a galvanisé les militants en affichant une détermination sans faille.

« Nos adversaires savent qu'ils seront battus et que le PDCI sera de retour au pouvoir fin octobre 2025 si Dieu le veut », a déclaré Tidjane Thiam sous les applaudissements nourris de ses partisans.

Malgré les tensions internes qui ont récemment secoué le parti notamment avec l’affaire Jean Louis Billon, le leader du PDCI-RDA a tenu à rassurer les militants. Selon lui, les débats d’idées et les divergences sont des signes de vitalité démocratique.

« Nous sommes le Parti Démocratique de Côte d’Ivoire. Dans toute organisation humaine et démocratique, le choc des idées et des ambitions est une réalité vivante, constante et nécessaire, et c’est normal », a-t-il souligné.

Cependant, Tidjane Thiam a insisté sur l’importance de préserver la cohésion et les valeurs qui ont toujours porté le PDCI-RDA. « Nous devons toutefois garder à l’esprit l’essentiel : la cohésion, le respect et la fraternité. Servir les populations ivoiriennes est un privilège », a-t-il ajouté.

À quelques mois de la présidentielle, le président du PDCI-RDA a tenu à réaffirmer l’attachement du parti aux processus démocratiques internes.

« Nous irons à notre convention pour élire officiellement notre candidat à la présidentielle. N’ayez pas peur. Le PDCI est prêt et uni pour relever ce défi », a-t-il assuré.

Gaël Z

Partarger cet article

En lecture en ce moment

Libération d’Affi N’Guessan : Le Cojep demande au pouvoir d’aller plus loin

En démocratie, on ne gagne pas avec l’arbitre