Peur-panique !





peur-panique


Le RHDP : une grosse machine électorale qui arrive pour tout balayer sur son chemin pendant les joutes électorales de 2020. Le PDCI-RDA, le gros fleuve dans lequel veulent se jeter ces minuscules partis de l’opposition panique déjà. A l’issue du congrès constitutif du RHDP prévu le 26 Janvier 2019, la grosse machine pour renvoyer aux calendes grecques le plus ancien parti de Côte d’Ivoire et ses nouveaux alliés, sera mise en marche. La nomination du Premier ministre Amadou Gon Coulibaly au poste de président du Directoire obéit à l’objectif à atteindre lors de ces consultations électorales. Car c’est un homme de mission et de devoir. Le plus loyal et fidèle des collaborateurs du président Alassane Ouattara. Amadou Gon Coulibaly ne connaît pas ce qu’on appelle échec ou défaite. Quand il s’engage, le succès est au bout du compte. Les choses sérieuses vont commencer après ce congrès qui va distribuer les rôles, les feuilles de route, les moyens de quadriller la Côte d’Ivoire, pardon de ₺ clôturer₺ la Côte d’Ivoire pour y emprunter ce terme à cette jeune fille qui donnait sur RTI1 sa solution à la paix et à la stabilité de ce pays. Le RHDP va donc jusqu’en Octobre 2020 clôturer la Côte d’Ivoire pour une victoire éclatante du Parti Unifié aux convocations électorales de cette année-là. Les hommes et les femmes de missions victorieuses existent au RHDP et n’attendent que le coup de sifflet du président du Directoire, le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly pour investir le terrain.

              Naturellement, ces annonces pré-campagnes suscitent la peur panique dans le camp d’en face que s’est montré hier₺ grand mauvais perdant₺ aux élections couplées municipales et régionales du 13 Octobre 2018. Un avant-goût de ce que cette opposition projette en 2020. Un aperçu qui dénote de la frilosité, de la peur-panique de ceux d’en face. Grosse machine, grosse artillerie, grosse batterie ou machine. Ces mots font terriblement peur au PDCI-Daoukro et à ses nouveaux alliés du FPI et autres.la frousse a donc gagné leur camp. Et on connaît en pareilles circonstances de refrain : la réforme profonde de la CEI, un disque bien usité et rayé de nos jours. Ils n’acceptent pas de perdre. Quand ils mordent la poussière après le verdict des urnes, le président de la CEI, SEM Youssouf Bakayoko, devient leur souffre-douleur, le bouc émissaire. Ils oublient royalement que c’est un jeu démocratique ou on peut gagner ou perdre. Non, l’opposition significative ivoirienne ne fonctionne pas ainsi. Elle doit gagner forcément. Défaite interdite, si non, hop retour au galop des violences politiques. Comme en Mars-Avril 2011. Il va falloir remettre au goût du jour la loi anti-casse, en prélude à la présidentielle de 2020. L’opposition ne veut pas changer sa manière de faire. Elle perçoit déjà qu’elle ne peut pas faire le poids devant le Parti Unifié- RHDP mais comment s’avouer battue d’avance. Elle use de dilatoire, de mauvaise foi, de manipulation et d’intox pour se donner bonne contenance devant des partisans prêts à ‘‘avaler’’ sans la moindre jugeotte leurs arguties. ‘‘Tout flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute’’. C’est la fable de Lafontaine qui le dit. En réalité, avant les choses sérieuses, l’opposition ivoirienne tremble déjà sur ses bases et multiplie les discours incendiaires. Signe que la sérénité a bien foutu le camp devant la grosse artillerie du RHDP.

Bonne lecture et à la semaine prochaine inch’Allah !

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