Pour ne pas avoir à payer le loyer de la maison qu’il occupait durant trois ans, le locataire a envoyé le propriétaire de la maison chez un marabout, en vue de l’envouter.
Selon la page Facebook "L’info vraie" qui relais l’information, C’est en 2015, que B.C, 45 ans, de nationalité nigériane, qui était à la recherche d’une maison a fini par en trouver une à Yopougon-Selmer.
"Finalement, après avoir contacté un agent immobilier, celui-ci lui a trouvé une maison coquette de trois pièces, à Yopougon-Selmer, chez le vieux D.O. Le loyer coute 120 mille FCFA par mois’’ raconte notre source. Les deux premières années, ont été de tout repos pour le vieil homme. L’entente est cordiale entre le locataire et son propriétaire car B.C payait régulièrement son loyer jusqu'à ce qu'il prenne la décision de ne plus s'acquitter de cette tâche, après avoir envouté le propriétaire.
Un jour, selon notre source, le vieillard se confie à une de ses connaissances, qui décontenancé par ce que lui confie son vieil ami, lui suggère de contacter un conseil juridique. C’est d‘ailleurs cette connaissance qui le conduit chez un huissier. L’affaire prend alors une autre tournure.
L’huissier qui prend l’affaire en main, il adresse d’abord une mise en demeure à B.C qui répond qu’il n’a pas les moyens de payer le loyer. Alors ce dernier lui a fait parvenir un avis d’expulsion. B.C menace alors verbalement l’homme de loi pour lui dire qu’il ne quittera jamais la maison. Et s’il continue de l’emmerder, il le tuera mystiquement.
Pas découragé pour autant par les intimidations du locataire, l’huissier débarque chez lui avec son équipe, accompagnés par des forces de l’ordre. Malgré cela, B.C se montre intraitable. Et il défie l’huissier. Finalement, l’homme et sa famille ont été délogés.
"C’est en inspectant la maison que l’homme de loi va comprendre la raison qui poussait à penser B.C qu’il était fort. Car dans sa chambre, le Nigerian avait creusé un trou sous le lit. En dessous, se trouvait un gros canari. Il avait gbassé son propriétaire’’ révèle notre source.
Solange ARALAMON