une vue de la direction de MTN et des représentants des projets retenus
Plus de 600 employés de MTN Côte d’Ivoire se sont engagés pour des actions d’activisme au service des communautés ivoiriennes qui sont dans le besoin. C’était le jeudi 1er juin 2023 lors du lancement officiel des « 21 Days of Yello Care », sur le thème : « Donner aux entrepreneurs les moyens de générer de la croissance et de créer des emplois pour les communautés ».
La Secrétaire générale de l’entreprise de téléphonie, Mme Natenin Coulibaly, a expliqué que cette année, après trois années d’interruption due à la Covid 19, ce sont trois projets qui seront soutenus. Il s’agit entre autres du Projet « Azito Attiéké Business » qui sera doté d’une Unité de fabrication d’attiéké, sans oublier les formations à l’endroit d’une Coopérative Femmes à Yopougon Azito. Le 2e projet de cette édition est l’« Eco Entrepreneurship » qui permettra d’assister des entrepreneurs évoluant dans l’Eco-Entreprenariat, notamment l’éco-tourisme dans la ville de Grand-Bassam. Mais aussi de sensibiliser des étudiants d’une école Hôtelière de la commune chère au Maire Jean-Louis Moulot. Le dernier projet pris en compte est le « Salon des Opportunités et de l’Entrepreneuriat » qui aura pour objectif de booster et de rendre plus visible les entreprises qui exercent dans le B to B, afin de susciter le goût de l’entrepreneuriat chez les jeunes ivoiriens.
Le directeur général de MTN, Djibril Ouattara, a expliqué que « 21 Days of Yello Care » est un programme annuel de bénévolat initié par le Groupe à travers le monde du 01 au 21 juin de chaque année. Des employés de l’entreprise mettent en œuvre des actions pour le bien-être de leurs communautés.
Cette cérémonie a enregistré la présence du représentant du ministre ivoirien de la Promotion de la jeunesse, de l’Insertion des jeunes et du Service civique, M. Kouadio Jean-Louis, du président de la Fédération des entrepreneurs de Côte d’Ivoire, Ben Aziz Konaté, de l’ambassadeur du vélo en Afrique, Andy Costa, des femmes de la coopératives d’Azito et des autorités traditionnelles et chefs coutumiers.
Solange ARALAMON