Le Président Laurent Gbagbo n’est pas rancunier. Encore moins revanchard. La preuve, chaque jour, il reçoit ses adversaires politiques. Notamment les cadres et militants du Pdci. Montrant ainsi qu’il est engagé sur la voie de la réconciliation. Et pourtant, ses mêmes adversaires politiques ont applaudi des deux mains lorsqu’il a été arrêté et transféré à la Cour pénale internationale. « Le transfèrement de Gbagbo à la Cpi est une bonne chose. Il est bien là où il est » disait Aimé Henri Konan Bédié, président du Pdci. Le Président Laurent Gbagbo n’est pas un revanchard. Son cœur n’est pas plein de haine. Mais plutôt rempli de paix, d’amour. Il n’est aucunement animé d’idées de vengeance. La preuve, il a mis son parti en mission, pour la réconciliation nationale entre les fils et les filles de la Côte d’Ivoire. il a demandé à la direction du Fpi, de prendre contact avec tous les acteurs politiques et sociaux pour leur parler, pour qu’ensemble on fasse la paix et la réconciliation. Il a instruit l’ensemble, de la direction de son parti à entreprendre, sans délai, toutes les initiatives nécessaires en vue de la promotion de la mise en œuvre effective de la réconciliation nationale et la cohésion sociale. Pour ce faire, le Président Laurent Gbagbo met son parti en mission auprès de tous les acteurs de la vie politique et de la société civile, sans exception, en vue d’une grande mobilisation pour construire ensemble les bases de la vraie réconciliation entre les filles et fils de la Côte d’Ivoire. Et à aller vers les partis politiques de gauche, pour se renforcer et s’approprier davantage de la problématique de la réconciliation nationale, gage de la stabilité et d’une paix durable en Côte d’Ivoire. Rappelons qu’il a subi les affres du régime Pdci. Il a fait plusieurs fois, la prison avec son épouse Simone Gbagbo et son fils Michel Gbagbo. Il a été contraint à l’exil en 1982. Arrivée au pouvoir en octobre 2000, il avait la possibilité de se venger. Il ne l’a pas fait. Bien au contraire, il a fait appel tous les fils et filles sans distinction politique, religieuse, ethnique, tribaliste et régionale, pour travailler ensemble. Pour le bonheur de la Côte d’Ivoire. Il a même tendu la main à l’ex-rébellion. Guillaume Soro, le chef de l’ex-rébellion a été nommé premier ministre. Et cela, au nom de la paix. Alassane Ouattara et Aimé Henri Konan en savent quelque chose. Ils étaient en exil à Paris.
Le Président Laurent Gbagbo les a fait revenir au pays en appliquant La constitution ivoirienne qui stipule : « Aucun ivoirien ne peut être contraint à l’exil. Toute personne persécutée en raison de ses convictions politiques, religieuses, philosophiques ou de son appartenance ethnique peut bénéficier du droit d’asile sur le territoire de la République de Côte d’Ivoire, sous la condition de se conformer aux lois de la République ». Le Président Laurent Gbagbo a organisé le forum de la réconciliation nationale après les élections d’octobre 2000. Le refus de feu général Robert Guéi de reconnaître sa défaite a créé une situation chaotique en Côte d’Ivoire. Il y a eu des morts et des blessés. Et c’est pour recoller le tissu social, qu’il a initié ce forum. Chacun est venu dire sa part de vérité. Le Président Laurent Gbagbo est un homme de paix. Il n’est pas violent. L’homme a été toujours au centre de son combat. La preuve, lorsque Ouattara et ses partisans étaient retranchés au Golf, il n’a fait aucun blocus. Ils étaient libres de leur mouvement. Puisqu’ils faisaient des va et vient entre ce lieu et le reste de la capitale économique. Ils faisaient des voyages à partir de ce lieu à destination des capitales africaines. En plus, ils y recevaient de la nourriture. Ni les militaires du poste de sécurité faisant face à l’Hôtel du Golf ni ceux positionnés à proximité de là, ni les policiers placés aux alentours avaient pour intention de séquestrer qui que ce soit. Bonne lecture. Allons-y seulement. Haut les cœurs. La liberté vaincra. Que Dieu bénisse la Côte d’Ivoire. A la semaine prochaine. Inch’Allah !
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