une vue de quelques membres du bureau du réseau Wash JNCI
Pour répondre aux problématiques liées à l'eau, à l'hygiène et à l'assainissement en Afrique, le réseau des journalistes et professionnels des médias pour l’eau, l’hygiène et l’assainissement en Côte d’Ivoire (WASH-JNCI) a organisé une assemblée générale le mardi 10 septembre 2024, à Abidjan, Cocody.
Selon la coordonnatrice Solange Aralamon, le réseau WASH-JNCI se positionne comme la « voix des sans-voix » en s'engageant à écrire et à partager des récits sur les défis liés à l'accès à l'eau potable, à l’hygiène et à l'assainissement en Afrique de l'Ouest. Son objectif est de mettre en lumière les réalités vécues par les populations marginalisées, souvent confrontées à des difficultés extrêmes pour accéder à ces services essentiels.
« Aujourd’hui, après cette AG, nous avons formé un nouveau bureau, et nous avons esquissé de nouveaux programmes à court, moyen et long terme pour cette organisation, tout en évaluant la faisabilité de partenariats nationaux et internationaux avec des organismes œuvrant dans le même secteur d’activité que nous», a-t-elle expliqué.
Mme Aralamon a également précisé que WASH-JNCI fait le relais des actions menées par le gouvernement, les institutions étatiques et les organisations non gouvernementales (ONG) œuvrant dans ce secteur. Grâce à leurs productions, mais aussi à des actions sur le terrain, les membres du réseau soutiennent les initiatives visant à améliorer l'accès à l'eau potable pour tous, une hygiène de qualité et un assainissement adéquat. Sans oublier de participer activement aux débats et réflexions nationaux et internationaux sur ces questions cruciales.
Ce réseau regroupe près de cinquante journalistes ivoiriens issus de divers médias. Présent dans les pays membres de la CEDEAO, Wash-JNCI est également en phase d'expansion avec une future section prévue en Suède, qui sera dirigée par Kanzli la première coordonnatrice du réseau en Côte d’Ivoire.
EA