Aux dires de Bah Alain, responsable de la SODECI de ladite ville, l’augmentation de la population et la connexion de nouveaux quartiers au réseau de distribution d’eau par l’unique et ancien château, ajouté au faible niveau de la nappe phréatique qui est ”en dessous” de la norme, sont les principales raisons de cette nouvelle situation.
”L’avènement d’un deuxième forage pour renforcer le château d’eau existant pourrait arranger les choses”, préconise-t-il.
En attendant qu’une solution définitive soit trouvée, les populations de Prikro s’en remettent aux quelques rares puits de la ville dans de longues files d’attente.
(AIP)
ge/fmo