Ce lundi 2 décembre 2019, la quasi-totalité des tabloïds ivoiriens ont ouvert les manchettes de leurs journaux par le compte rendu de la visite d'état du président de la République Alassane Ouattara dans la région du Hambol (Nord de la Côte d’Ivoire).
Ainsi, les propos tenus par ce dernier sur élections présidentielles de 2020 auront retenu l'attention de Le Matin qui écrit "Samedi dernier à Katiola / Ouattara aux Ivoiriens. Pas de retour en arrière pour parvenir au pouvoir", de Le Patriote qui barre à sa une :"Depuis Katiola/ Ouattara a certains hommes politiques: "Notre génération est passée. ..". L'Essor Ivoirien pour sa part rapporte "Visite d’État dans le Hambol : "Que ma génération comprenne que notre temps est passé. .." là où L'Expression décrit " Visite d'Etat dzns le Hambol/Après le meeting de Cloture: Ouattara en phase avec son peuple". Toujours au chapitre de la visite du président dans le Hambol. Le Temps revient sur la collision des deux hélicoptères militaires pour indiquer que "Le responsable de la tour de contrôle aux arrêts.
Soir Info quant à lui révéle les conditions posées par le président Alassane Ouattara à ses ministre et aux présidents d'institution et L'intelligent d'Abidjan se pose la question de savoir si les président Bédié et Gbagbo sont prêts pour accepter un président moins âgé qu'eux en 2020.
Outre le président Alassane Ouattara, la sortie de Mme Simone Gbagbo lors de la rencontre de l'organisation des femmes du Front populaire ivoirien (OFFPI) samedi dernier. Alors que Le Quotidien d’Abidjan titre "Rassemblement de L'OFFPI samedi dernier/Simone Gbagbo: " Gbagbo est la tête et la vision", L'inter écrit "Politique nationale/ Simone Gbagbo lâche: "Notre vision, ce n'est pas Gbagbo...".
Daitres sujets d'intérêt ont été retenus par d'autres journaux. C'est le'cas de Le Rassemblement qui fait échos du ralliement de certains Pro-Gbagbo à la cause du RHDP en mentionnant "Des Pro-Gbagbo se livrent à Gon et au RHDP" et de Le Sursaut qui dévoile un nouvel espoir pour les victimes des déchets toxiques.
Solange ARALAMON