La semaine dernière, 44 membres présumés de Boko Haram, arrêtés au cours des opérations militaires qui ont eu lieu fin mars dans la région du lac Tchad, ont été retrouvés morts dans leur cellule. Après les réserves de la société civile, la Commission nationale des droits de l’homme a décidé d’ouvrir une enquête.
Selon les conclusions du rapport d’autopsie du médecin légiste commis par le procureur, que RFI a pu consulter, la mort collective des détenus est due à une consommation d’une substance létale ayant produit un trouble du rythme cardiaque. Les conclusions font aussi mention d’autres complications qui pourraient faire l’objet d’une enquête et d’analyses appropriées. Lire la suite sur http://www.rfi.fr